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A propos ( 11 août, 2011 ) Le pont de Sidi Rached fermé et des techniciens italiens à ses chevets Le pont de Sidi Rached sera interdit à la circulation automobile à partir du 21 du mois en cours et ce pendant 70 jours. La décision prise par les services de la direction des travaux publics de Constantine intervient après que des fissures aient été constatées sur cette structure faite en pierre et dont la construction remonte à 1912. Depuis cette date, il est nécessaire de le rappeler, plusieurs opérations de confortement du pont ont été entreprises sans que cela mette fin aux lézardes. Cette fois- ci, il semble que les « plaies » de Sidi Rached d’où cette longue fermeture et d’où aussi le recours à l’expertise italienne pour mieux « panser » ce mastodonte en pierre, le plus haut du genre dans le monde. Publié dans Non classé par assimrami Poster un commentaire -- ( 17 juillet, 2011 ) Layali Cirta … Oui mais…! Un peu de fraîcheur musicale en cette période caniculaire, voilà qui pourrait réjouir les Constantinois sevrés en activités artistiques avérées et en infrastructures de loisirs. L’organisation des soirées de Layali Cirta aura été un événement intéressant dans la mesure où cela a permis à des familles de sortir guetter l’oxygène et goutter à un moment de spectacle. bref, au delà de la qualité des conviés, cette manifestation aura été, tout compte fait, un brin de détente non négligeable. Il se trouve, toutefois, que certains impondérables se sont greffés à ce rendez-vous, ce qui a un peu faussé la donne. Le lieu de la représentation est, tout d’abord, loin de répondre à cette rencontre. le « théâtre de plein air » est dans un piteux état. Ensuite, les informations véhiculées par certains organes de presse sur un « faux journaliste » ou encore sur la colère de Cheb Mami, ternissent un peu l’image de cette manifestation. la prochaine fois , peut être… Publié dans Non classé par assimrami Poster un commentaire -- ( 14 février, 2013 ) Un programme «rallongé » pour la troisième «tentative » de Sellal Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est attendu, Samedi 15 février, dans la capitale de l’est. Il s’agira, en fait, de la troisième annonce de ce déplacement prévu préalablement le 2 puis le 7 du mois en cours puis reporté pour diverses raisons. La première à cause d’un calendrier chargé de Sellal et la seconde pour cause d’enneigement de la piste d’atterrissage de l’aérodrome de Constantine. Et sauf rebondissement de dernière minute, le Premier ministre foulera le tarmac de l’aéroport Ain El Bey à 9h du matin et, contrairement au programme très allégé précédemment concocté, l’hôte de Cirta s’est vu, cette fois-ci, «offrir» un circuit plein où il aura à arpenter et traverser la cité. Un programme «rallongé » et bien chargé, auquel les officiels Constantinois ont consacré toute une journée. On a même convenu de convier Sellal à une rencontre avec les hommes de la culture de la ville et ce en prélude à la présentation de l’avant-projet du programme de Constantine, capitale de la culture Arabe 2015. Autre «nouveauté » dans cette visite, le déplacement vers le site Ain Nehas, dans la banlieue d’El Khroub, où le Premier ministre procédera au lancement des travaux de réalisation du pôle urbain de 6400 logements. Un autre programme de 12.880 unités de type LPL (logements publics locatifs) et 7050 de type LPA (logements promotionnels aidés), au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli, sera lancé au cours de cette visite. Une nouvelle ville qui, d’ailleurs, focalisera l’attention des observateurs et d’aucuns s’attendent à ce que Sellal s’exprime d’avantage à ce sujet surtout après ses propos sentencieux prononcés jeudi dernier à Annaba. Quelles seront, dés lors, les mesures à adopter pour corriger «les erreurs commises » à Ali Mendjeli, dixit Sellal ? L’option retenue est de lancer un programme d’urgence d’accompagnement et de doter cette nouvelle ville du statut de Daïra à même de lui permettre de disposer d’un cadre juridique et organique clair et lui éviter, de ce fait, le ballotage préjudiciable entre services, directions et même communes. A souligner que Sellal s’attardera sur le chantier du tramway, sur le site devant accueillir l’hôtel Mariott et ceux de l’autoroute est-ouest et du viaduc trans-rhumel. Tout un programme pour l’enfant de Constantine. S.B (J Indépendant) Publié dans Non classé par assimrami Commentaires (3) -- ( 9 février, 2013 ) Les islamistes arabes sont-ils «démocrato-solubles » ? L’assassinat , mercredi dernier, de Chokri Belaid , figure de proue de l’opposition tunisienne et pourfendeur des islamistes, relance les débats sur la place de l’islamisme dans la vie politique et sa solubilité dans la démocratie. Islam et démocratie ? Sont-ils compatibles ou plutôt véhiculent-ils des valeurs fondamentalement irréconciliables ? L’expérience tunisienne post- Benali, via une troïka idéologiquement élastique, a vite montré ses limites et les accusations contre Ennahda de Ghanouchi et son appendice le courant salafiste ont fusé de partout. Les tunisiens découvrent l’horreur des assassinats politiques et se mettent à redouter un scénario à l’algérienne. D’autant que le patron charismatique de la puissante union générale des travailleurs tunisienne (UGTT), Hocine Abassi , vient d’apprendre, de son côté, qu’il figure sur une liste de personnalités à abattre. Triste destin auquel les tunisiens patriotes et démocrates sont obligés de faire face en se mobilisant ; la machine meurtrière, au nom de l’islam, étant, visiblement, mise en branle. Des éléments précurseurs qui ont catalysé cet ignoble acte criminel étaient, pourtant, bien là sans que le mouvement Ennahda, principal segment de la troïka, daigne prendre les mesures nécessaires. Terre d’accueil et d’hospitalité légendaire, le pays du jasmin allait découvrir ces extrémistes religieux qui se pavanaient sur les plages et les places publiques menaçant tous les autres «mécréants», les femmes et les policiers en premier lieu. Que fera le mouvement Ennahda face à cette montée de l’intolérance, de l’obscurantisme, le tout sur fond, de la multiplication des camps d’entrainement ? Rien, ou plus exactement beaucoup de chose puisqu’il servira de matrice nourricière à cet islamisme radical et ce en affichant un silence sidéral et même en apportant de l’aide, le cas échéant, comme se fut le cas lors de l’évasion énigmatique du chef de file des extrémistes pourtant encerclée par la police que dirige un ministre d’Ennahda . La collusion Ennahda- salafiste est un fait ; chaque partie étant chargée de jouer sa répartition aux fins de saborder la doctrine républicaine chère aux tunisiens. D’aucuns ne sont pas prêts d’oublier les «conseils» de Ghanouchi à des salafistes les exhortant de prôner un endoctrinement progressif de la société en prenant garde à la réaction de l’armée et de la presse. Des propos que les tunisiens ont découvert à la faveur d’une vidéo postée sur la toile. Dés lors, ceux qui pariaient sur une transition en douceur à la tunisienne, mettant en exergue la démarche modérée d’Ennahda, ont été vite rattrapés par la réalité : Ennahda n’est pas l’AKP de Tayib Erdogan . L’expérience turque est, il est vrai, toujours mise au devant par les islamistes des pays arabes comme exemple de solubilité de l’islamisme dans la démocratie. Mais cette approche s’avère totalement infondée et tout laisse penser que le bon «mariage» entre islamisme et démocratie équivaudrait à mettre préalablement en place les ingrédients d’une bonne fondation, de pensée et d’idéologie s’entend. Une bonne fondation qui ne laisse pas d’interstice à la «dictature religieuse» et à la démocratie absolue au nom de l’islam pour s’infiltrer. Refuser, voire combattre violement les autres courants parce qu’on se croit dépositaire du régalisme islamique, voilà en quoi se résume, tout compte fait, le programme d’action d’Ennahda, un parti qui, faut-il le souligner, a «volé» et «séquestré » la révolution tunisienne. En fait, tous les partis is